24 février 2014
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Délectation soyeuse et baisers satinés
Roulis de caresses comme la mer sur le sable,
Le frisson qui me mène est celui qui l'ébranle
Le brasier du désir un songe impérissable.
Son flou de cachemire une injure à sa peau
Elle est le levant, quand l'occident se calme,
Quand sous sa blanche martre elle donne son agape
Il allume dès l'aube le brasier impensable.
Sous son chandail mohair charmante gourgandine
Allégorie du temps, puérils secrets,
En caresses flanelles les sibyllins de son corps
Sont comme des chemins hier insurmontables.
Avant d'être si près de ces discrets secrets
Les caresses mutines en valses de velours,
Et les ombres confuses tournent sur sa peau douce
Font palpiter son coeur en ondes de bonheur.
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©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo
Numéro du détenteur - 00049736
Publié par Flo-Avril
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POESIE
17 février 2014
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09:24
Tu n'erres plus dans les voiles du matin
Sous la charmille cachée dans l'union de nos mains
Qui se couvre magistrale comme des effigies
Effarouche dans le soleil les oiseaux qui s'enfuient
L'égérie ne badine plus à l'entrée de la chance
Au fond de tes accords se révèle le silence
Tu ressembles à ces jours où s'étirent les larmes
Au fond de ton cœur sommeillent les armes
Sur tes rivages où dorment en secret
Quand viennent à se taire les rengaines d'hier
C'est peu à peu que tu quémandes la lumière
Tu fais en marchant fort voltiger le présent
Soudain coule la source des soieries
Et qu'au bout des doigts resurgit le brasier
Crinoline qu'on badine en rubans d'organdi
Roulis de nos deux corps par le temps empressés.
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©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo
Numéro du détenteur - 00049736
Publié par Flo-Avril
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POESIE
14 février 2014
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09:00
- Dans ce conflit, le rôle des forces de l'ordure a été déterminant...
- C'est alors que le suspect a eu l'audace de s'endormir pendant que nous l'interrogions.
- Interrogé par nos soins, l'homme a alors menacé de nous répondre si on continuait à l'interroger...
- L'homme sortit de son pantalon un engin avec lequel il frappa violemment l'inspecteur à la bouche.
- Le garçon de café était une femme...
- L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était qu'un tissu de mensonges.
- L'homme a refusé de reconnaître qu'il nous avait menti en affirmant qu'il était mort.
- Le prévenu a attendu d'avoir fini son repas pour commencer une grève de la faim.
- L'homme attendait l'autobus d'un oeil suspect...
- Les trois africains soupçonnés d'avoir trempé dans l'affaire ont tous été blanchis par l'enquête qui a suivi.
- Face à face avec son adversaire, l'homme le prit en traître par derrière...
- Le suspect nous a alors menacés en fronçant les sourcils...
- Le cadavre de l'homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait été vue par les différents témoins.
- L'homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme sans parvenir à s'y introduire.
- Seule l'autopsie pourra dire si l'homme est encore vivant...
- Non seulement la mère n'est pas morte comme le prétendent ses enfants, mais il a même été prouvé qu'elle est en vie.
- La femme resta ouverte jusqu'à l'arrivée de son mari... Son alibi ayant pu être vérifié, nous avons été obligé de constater que le suspect ne pouvait être présent à l'heure dite sur les lieux du vol qu'il avait commis.
- Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
- L'assassinat avait donc bien le crime pour seule et unique raison.
- On ignore les raisons qui ont poussé le désespéré à se faire assassiner...
- Après avoir déjà enfilé deux sens interdits, l'homme s'en est pris à la conductrice...
- La femme ayant été décapitée, il nous a été impossible jusqu'à présent de mettre un nom sur son visage.
- Aucun dégât n'est à déplorer à l'exception de la seule et unique victime.
- Selon ses dires, l'homme est mort vers 16h30
- L'homme a déposé sa plainte sur le bureau avant de s'envoler devant nos yeux qui n'ont rien compris.
- Le choc fut sans gravité même s'il fallut déplorer deux morts...
- Seuls quelques dégâts matériels furent notés sur le cadavre...
- Le policier put frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant parfaitement réglementaire.
- L'homme ne semblait pas avoir prévu son meurtre avec préméditation...
- Un violent coup sur la tête semblait indiquer une mort naturelle...
- Après identification, le corps fut rendu à sa famille dont personne n'a pu retrouver la trace.
- Le défunt confirma que son meurtrier avait bien agi seul.
- Malgré son mariage et ses quatre enfants, l'homme vivait comme un veuf éploré...
- Grièvement blessé, la vitrine s'effondra en morceaux...
- La mer était sa terre natale...
- Le trio des voleurs était composé de quatre hommes d'origine africaine...
- Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui.
- L'homme qui avait dérobé les miches s'en prit ensuite à celles de la boulangère...
Publié par Flo-Avril
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LES RIRES