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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 00:14

 

 

 


  Frôlement du contour de mes hanches, ton âme se met en transe

Comme la lame de fond qui soudainement m'engloutit

Je rêve de toi comme la houle va et vient sans répits

Tu me noies dans une charmante torpeur

Ta semence doucement en moi transpire

Un million de doux papillons qui en mon ventre virevoltent

Me submergent de doux mots d'amour déjà je tressaille

Du rouge sur mes lèvres, une touche de parfum

Et déjà d'étoffes mutines tu m'as aboli

Un regard curieux esquivant au devin des courbes de l'ivresse

Tu me voudrais en noir, je me ferai grise, ce sera audacieux

Étouffant ces doux chiffons de tes mains chevaleresques

Dissimulant mes charmes sans jamais les cacher

Une guêpière soudain réhausse ma poitrine et magnifie mes seins

Fête de dentelles et de tulle mutine

Froufrou, joujou, ivresse du pouvoir

Ton frein mis à l'épreuve de par mon doux pouvoir

Et déjà tu me caparaçonnes et je tourbillonne

Que serait la vie sans ton vit malicieux

Tu trouves mon G culte, doux point de fulgurance

Je déroule le voile que tu voulais cacher

Et me retrouve soudain entre rêve et réalité

Je te narrerai, l'histoire du désir quand tout devient plaisir...

 

*´¨ )
¸.•´¸.•´¨) ¸.•*¨)
©(¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> © Flo

 

 

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15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 00:42

 

 

 

Conte du Japon
MAURICE BOUCHOR

 

 

   Il y a bien des siècles, dans un endroit de la province d’Echigo, appelé Mastuyama, vivaient deux jeunes époux dont on ne sait plus le nom. Ils avaient une petite fille.
L’homme appartenait à la classe des Samouraïs ; mais il avait peu de fortune et vivait très simplement sur un petit bien dont il dirigeait lui-même la culture. La femme avait les mêmes habitudes de simplicité ; dans tout ce qui l’entourait, on n’eut pas découvert un seul objet de luxe. Elle était, de plus, fort timide, si bien que, parmi des personnes étrangères, elle n’avait pas d’autre désir que de passer inaperçue.

Un jour, le mari dut aller à Yeddo. Il y avait un nouveau souverain, et le seigneur d’Echigo se rendait à la capitale pour l’y saluer. Le jeune homme faisait partie de la suite de ce personnage.
Son absence ne fut pas longue. Heureux de quitter les splendeurs de la cour pour la vie modeste et familière qu’il aimait, il revint à Matsuyama dès que le seigneur d’Echigo le lui permit. Il rapportait de la capitale quelques présents pour sa femme et pour sa fille : l’enfant eut une poupée, des friandises ; la mère eut un miroir de bronze argenté.
Cet objet parut à la jeune femme une chose tout à fait merveilleuse, car c’était le premier qu’on eut apporté à Matsuyama. Elle n’en comprenait pas l’usage, et elle demanda naïvement quel était ce joli visage souriant que l’on y voyait. C’est qu’elle ne connaissait point sa propre figure, ne l’ayant jamais vue bien reflétée dans une surface claire et polie.
Le mari, dans ses voyages, avait plus d’une fois vu des miroirs, bien que l’usage en fût peu répandu. Il se mit à rire.
– Eh quoi ! lui dit-il, es-tu assez sotte pour ignorer que ce charmant visage est le tien ? Tu aurais pu le deviner.

Honteuse de son ignorance, elle n’osa pas faire d’autres questions, elle mit de côté le miroir, pensant toujours que c’était un objet bien mystérieux. Elle ne compris qu’une chose : c’est que son image y apparaissait.
Pendant de longues années, elle le tint soigneusement caché. Pourquoi ? On ne le sait pas au juste. Peut-être tout simplement, parce que la moindre bagatelle, quand c’est un présent de l’amour, devient quelque chose de sacré. Alors, à certains jours, on le regarde avec tendresse ; mais on hésite à le montrer à d’autres personnes, qui ne pourraient pas le voir avec les mêmes yeux.

Cette femme avait une santé chétive : elle mourut jeune encore.
Pendant sa dernière maladie, lorsqu’elle se sentit tout près de sa fin, elle prit le cher miroir et le donna à sa fille en lui disant :
– Après ma mort, il faudra le regarder matin et soir, et tu m’y verras. N’ai pas trop de chagrin.
Puis elle mourut.

À partir de ce moment, la jeune fille ne manqua point de regarder, soir et matin, dans le miroir. Aussi naïve que sa mère, à qui elle ressemblait beaucoup d’âme et de visage, elle ne sut point qu’elle y voyait, non pas les traits de sa mère, mais les siens. Elle parlait à cette image, persuadée dans son cœur qu’elle se rencontrait ainsi avec sa mère ; et rien ne lui était aussi précieux que son miroir.
À la fin, son père s’aperçut que, tous les jours, elle regardait le miroir et même lui parlait. Il lui en demanda le motif.
– Je regarde ma mère, répondit la jeune fille. Elle n’est plus pâle et fatiguée comme pendant sa dernière maladie ; elle paraît encore toute jeune. Il m’est bien doux de la retrouver ainsi et de m’entretenir avec elle.
Alors, ému d’une tendre pitié, le père sentit ses yeux se remplir de larmes ; et, sans détromper son enfant, il lui dit :
– Oui, tu la retrouves là, comme je la retrouve en toi.

 

 

 

 

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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 00:14

 

 

 

Dites-moi...
Vous aimez sentir le contact du corps de quelqu'un contre vous ?
Qui vous fasse suer... Sentir son souffle sur votre visage ou sur votre nuque... Essayer de nouvelles positions... Entrer par l'arrière... ou par l'avant... Monter... Descendre... Entrer... Sortir... Entrer froid et sortir chaud... Ouii ! ! !
Vous aimez ça ? Alors ! !
Prenez le bus !


Un petit garcon rentre chez lui et dit à son pere :
- Papa, papa ! Savais-tu qu'on peut avoir des enfants dans une éprouvette ?
- Je sais, fiston ! J'en ai eu deux dans une cruche !

Deux asticots se retrouvent dans une pomme :
- Tiens ! Je na savais pas que vous habitiez le quartier !

Une femme discute avec une amie :
- "J'ai un mari en or."
L'autre lui répond :
"moi, le mien, il est en taule."

Sur le bord du Nil, trois Belges voyant un crocodile dans l'eau se mettent à lui jeter des cailloux. A un moment, le crocodile, en colère, s'approche de la rive, prêt à monter sur la berge.
Deux des Belges se sauvent et montent dans un arbre. Le troisième, impassible, ne bouge pas. Les autres l'appelle et lui disent de se sauver. Alors l'autre leur répond :
"Ça va pas, une fois, j'ai pas jeté de cailloux moi."

Au restaurant, un Monsieur s'écrit :
- Garçon, il y a une mouche qui nage dans mon assiette.
- Oh, c'est encore le chef qui a mis trop de potage. D'habitude, elles ont pieds !

 Deux Belges discutent :
Le premier dit : Ho !? UN mouche !
Le deuxième : Non ! UNE mouche.
Le premier lui répond : t'as de bons yeux !

  Après avoir creusé le sol sur une profondeur de 100 mètres, des scientifiques russes ont trouvé des traces de fils de cuivre âgés de plus de 1000 ans, et en sont arrivés à la conclusion que leurs ancêtres avaient déjà un réseau téléphonique interurbain mille ans auparavant. Pour ne pas être en reste, dans les semaines qui suivirent, des scientifiques américains ont creusé leur sol sur une profondeur de plus de 200 mètres, et on vit ensuite dans les journaux :"Des scientifiques américains ont trouvé des traces de fibres optiques évaluées à plus de 2000 ans d'âge, et en sont venus à la conclusion que leurs ancêtres avaient déjà un réseau de communications digitales d'une technologie très avancée à l'époque de notre seigneur Jésus-Christ, soit environ 1000 ans avant les Russes" Une semaine plus tard les belges ont publié le rapport suivant :"Après avoir creusé le sol BELGE sur une profondeur de 500 mètres, les scientifiques n'ont absolument rien trouvé du tout. Nous pouvons donc en conclure qu'il y a 5000 ans, chaque belge avait déjà un téléphone portable"...

 

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Un Sujet En Particulier ?

Sur ce blog il y a

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Blogopotes

Cet ensemble de miniatures, représente mes amis, les personnes chez qui j'aime flâner et faire un petit coucou , laisser un commentaire chaque fois que j'en ai envie.

 

Si vous désirez vous y retrouver, laissez-moi un coucou à votre tour, je me ferai un plaisir de vous y accrocher et j'irai vous écrire une petite bafouille à mon tour.

Pose ton curseur sur les miniatures, tu verras apparaître les pseudonymes et tu auras le lien du blog

 

 

Alain TreiZe Aummani chtinoeil bubuneJoëlCannelle Dany Dix DomSimone Déesse GL katara PatriciaMamyAnnick Marie M-T Michel Nouche Patmamy QuichottineBigornette Nanou SpipAlainJeeretGabClnKinouLCDAndréla-cachinaM_PZip de loupTatarinetteAlinebikerMahinaFrançoisePaqueretteLaurentPatriarchGeoElianeValentineJ-P SilvestreMentaleJeanCricketValerieTiotTimiloKryNefertitiMartineTotoFancriSylfanfleur de lysBrenPhilippeZapiCloMichelOcecoolMartineRogerNadiaD@net

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Mon troisieme recueil

Thebook edition a classé mon recueil dans la catégorie adultes, certains de mes poèmes étant érotiques

Acheter Foucades en mots tressés

http://a-fleur-de-plume.eklablog.com/

Ah tu es là

Mon premier recueil de poésies

Un second recueil avec une meilleure présentation et de nouveaux poèmes,  vient de voir le jour .

N'hésitez pas à vous l'offrir ou à l'offrir pourquoi pas !

 

Le livre