TOI TOI ENCORE TOI

Les milliers de millions d'étoiles suspendues dans le ciel le soir, ne valaient rien à côté d'un de tes regards.
Les plus merveilleux couchers de soleil qu'ils soient de pourpre ou de soie, ne valaient pas l'éclat et la chaleur d'un de tes sourires.
La plus belle musique enchanteresse et cristalline, ne pouvait égaler le timbre mélodieux de ta voix, le son du bruissement de ta présence. Les plus beaux des rêves que je pouvais faire jamais ne te vaudront, ne te remplaceront .
Toi, le regard de braise tantôt doux et perçant, tantôt charmeur et provoquant, tantôt triste et larmoyant, le sourire attendrissant et la voix suave.
Je me meurs d'envie de toi, je me meurs d'envie de te revoir.
Comment puis je expliquer celà, cette douce sensation de bonheur cette confiance percue, ce bien-être que je n'avais jamais connu et qui s'était installé doucement en moi dès les premières paroles échangées.
Toi tu m'avais sortie de ma torpeur, cette longue chute qui me menait à l'inertie, tu m'avais redonné le goût à la vie le goût de l'amour, c'est toi aussi, qui m'avais dit que la vie pouvait encore être belle et c'est encore toi qui m'avais prouvé qu'on pouvait m'aimer pour ce que j'étais vraiment, pas pour ce que l'on voulait que je sois...comme je le pensais...

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Publié par Flo - dans AMOUR
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14 mai 2006 7 14 /05 /mai /2006 00:05

CELLE QUE J'AIME

Il pouvait dire ça d'elle...Mais qui était cette elle...et qui était-il?

Tendre...rassurante, souriante, la voix douce... comme j'aime ses grands yeux bleus quand elle me sourit quand elle me regarde, quand elle rit...
J'aime ses mains quand elles se posent, se nouent dans les miennes, parcourent mon corps...j'aime son ventre plat, ses épaules rondes, son dos creux, que je voudrais sentir au creux de mon corps....je l'aime simplement elle, son corps doucereux, rassurant, sensible, aux courbes douces et tranquilles je l'aime entière...j'aime quand elle pose les yeux sur moi, les doigts sur sa guitare, j'aime son petit minois concentré...j'aime son sourire quand elle me regarde, son visage qui semble plus lumineux encore qu'une nuit de pleine lune...une nuit étoilée... J'aime simplement quand elle est là près de moi....
J'aime dormir près d'elle et au matin je la réveille d'un doux baiser, je me sens bien je me sens près d'elle en sécurité, rien ne peut m'arriver.
Ensemble nous sommes bien....Et comme tous, nous rions, nous pleurons, nous sommes nous, sans artifices et entiers sans masques, juste nous sans mots de trop, sans mots superficiels.

On va juste, on voudrait juste s'aimer, sans en rajouter...

Flo

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Publié par Flo - dans AMOUR
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10 mai 2006 3 10 /05 /mai /2006 00:07

DESSINE MOI NOTRE L'AMOUR...

Il était arrivé là sans trop savoir pourquoi, sans trop savoir comment ; dans ce monde sans couleur, dans ce monde sans saveur, dans ce monde sans harmonie... Il avait erré depuis l'aube d'un jour dont il ne se souvenait plus jusqu'au crépuscule de ce jour qu'il n'avait pas vu passer.
Le regard perdu à l'horizon, ses longs cheveux chatains jouant dans le vent, lui caressant la joue, il s'était arrêté là en haut de cette dune, pour contempler un avenir dont il n'avait aucune conscience.
C'est ainsi qu'elle le surprit... Assis, le menton reposant sur ses genoux, repliés contre sa poitrine, l'air un peu rêveur, l'air un peu ailleurs. Un long moment elle le regarda...Elle ne pouvait détacher son regard de ce visage.
Quelles furent alors ses impressions ?
Comme s'il sut qu'elle était là, comme si elle avait toujours été là ; il murmura dans le vent :
"- S'il te plait, dessine-moi notre amour..."

Et la belle jeune femme de s'exécuter ; celle dont il avait rêvé si fort, de sa langue habile, trouva les plus doux mots qui soient pour illustrer cet amour...
Elle prit ses mots couleurs, ses mots aimés qu'elle gardait pour lui au fond du coeur et se mit à peindre un monde tout en douceur, tout en candeur ! Elle ne put retenir tous ces mots, ces lettres fébriles se mirent bout à bout, formèrent une sarabande et se bousculèrent au tableau de son âme...au tableau de son coeur.
Elle les voulait toujours plus forts, toujours plus beaux, toujours plus haut et lui de ses grands yeux, pouvait y lire en lettres capitale le mot amour...Plus les mots virevoltaient, plus les couleurs devenaient criantes de vérité et plus ses yeux devenaient luisants.
Elle reposa enfin ses mots couleurs plein de douceur et lui tendit les mains...Elle mit sa tête sur sa poitrine, elle entendait le doux son du battement de son coeur et enfin versa les larmes du bonheur...Ils étaient là enfin, tous deux réunis ! Ils se regardèrent, ils regardèrent au loin les mots douceur s'envoler partir pour un autre ailleurs, mais qu'importait, eux avaient les leurs au fond du coeur...