16 avril 2007
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Poser un lapin
Signification :Ne pas se rendre à un rendez-vous.
Origine : signifie de nos jours ne pas aller à un rendez-vous, sans prévenir la personne qui nous attend. Cependant, le sens était autrefois différent. En 1880 par exemple, cela voulait dire "ne pas rétribuer les faveurs d'une jeune fille". En effet à cette époque, le "lapin" désignait un refus de paiement. Par la suite, il a également désigné un voyageur clandestin. L'expression, sous sa forme actuelle, serait apparue vers 1890 chez les étudiants, et pourrait provenir de "laisser poser", qui signifie "faire attendre quelqu'un".
Se lécher les babines
Signification :Se régaler.
Origine: Ici, les "babines" symbolisent les lèvres, donnant ainsi à l'être humain un aspect quelque peu "bestial". On imagine par exemple le loup ou le chien qui se lèchent les babines lorsqu'ils sont sur le point ou lorsqu'ils viennent de manger. Il s'agit donc d'un signe de satisfaction après un bon repas. Cela peut également signifier que l'on se régale de faire quelque chose, qu'une idée qui nous vient à l'esprit est très plaisante.
Appliquer la politique de l'autruche
Signification :Refuser d'accepter le danger.
Origine: Cette expression rappelle la légende selon laquelle les autruches s'enfouissent la tête dans le sable lorsqu'elles ont peur, ce qui leur évite de voir ce qui les menace. "Appliquer la politique de l'autruche" signifie donc que l'on refuse de voir le danger là où il est.
Tenir tête à quelqu'un
Signification: S'opposer à quelqu'un.
Origine: Apparue au XVIe siècle sous la forme "faire tête", cette expression signifie que l'on s'oppose, surtout verbalement, à quelqu'un. Il s'agit d'une référence au domaine de la chasse et aux animaux poursuivis qui se présentaient de front quand ils étaient encerclés par les chiens et dont on disait qu'ils "faisaient tête".
Publié par Avril2
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UN PEU DE CULTURE!
13 avril 2007
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Un homme et sa conjointe sont confortablement installés dans un restaurant pour un souper en tête-à-tête. Depuis un bon moment, l'homme fixe une femme saoule assise seule à la table voisine et qui fait tourner son gin dans son verre. Sa conjointe demande :
- Tu la connais ?
- Oui, c'est mon ex-femme, elle s'est mise à boire lors de notre divorce, il y a sept ans et on m'a dit qu'elle n'a jamais été sobre depuis.
- Mon Dieu, dit la conjointe, je n'aurais jamais pensé qu'une femme puisse fêter quelque chose aussi longtemps...
C'est un mec qui est à l'hôpital, sa femme est en train d'accoucher...
Comme il la voit souffrir pendant les contractions il lui tient la main et lui dit en pleurnichant:
- Oh ma chérie, tu as tant mal et tout ceci est de ma faute...
La femme répond avec un petit sourire.
- Mais non, tu n'y es pour rien... absolument pour rien!
Pendant une classe où l'on enseignait la morale et les bonnes manières, l'institutrice demande aux élèves :
- Michel, si tu étais en train de faire la cour à une jeune fille de bonne famille, très bien éduquée pendant un dîner en tête à tête et que tu avais besoin d'aller aux toilettes que dirais-tu ?
- Attends-moi une seconde, je vais pisser un coup.
- Ça serait très grossier et très malpoli de ta part. Jean comment dirais-tu ?
- Je m'excuse, mais il faut que j'aille aux toilettes, mais je reviens tout de suite.
- C'est déjà mieux, mais c'est désagréable de mentionner les toilettes pendant les repas. Et toi Toto, tu serais capable d'utiliser ton intelligence, au moins pour une fois, pour démontrer tes bonnes manières ?
- Je dirais ma chère, je vous demande pardon de m'absenter un moment, je m'en vais de ce pas tendre la main à un ami intime que j'espère pouvoir vous présenter après le dîner.
Une blonde désire acheter une télé. Elle appelle le vendeur:
- Je veux ce téléviseur-là !
- On ne sert pas les blondes, ici !
Surprise, elle va chez le coiffeur et se fait teindre ses cheveux en brun. Elle retourne voir le même vendeur et redemande:
- Je veux ce téléviseur-là !
- Je vous ai dit que je ne servais pas les blondes !
- Mais je ne suis pas blonde !
- Vous êtes une fausse brune: la preuve: ça fait deux fois que vous me montrez un four à micro-ondes !
Publié par Avril2
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LES RIRES
11 avril 2007
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Au cours de ses derniers mois, je me suis construit un petit refuge, un petit nuage, une toute petite bulle, dans laquelle, je me sens en sécurité, où je me réfugie de plus en plus souvent.
Il y règne un semblant d'équilibre qui me donne une impression de stabilité. Un mur bâtit de mes propres peurs, à partir de mes frustrations...De mes peurs, de mes envies...
Détachement avec l'extérieur pas sans mal, sacrifice d'échanges, de regrets, attachement de soi vers ce refuge, vers ma bulle qui me sécurise!
J'y construis jour après jour, ce qui fait mon quotidien. Là mes mots se mêlent et s'entremêlent sans faire de bruit, se choquent et s'entrechoquent en sourdine, se croisent et s'entrecroisent pour former une sarabande de mots soyeux, mots joyeux, mots ravis d'être en moi et pour moi!
La chambre des rêves est mon endroit, un endroit, qui ne dort jamais quand les songes se révoltent dans la beauté, par l'évasion des pensées qui vagabondent dans les méandres des mots, pour sublimer nos rêves avec bonheur.
Les mots voguent sur cette mer de poésie, écumant nos espoirs aux battements passionnés des coeurs et nous habillent de cet imaginaire, brodant le coeur d'évasion pour que le rêve s'y sublime.
Ainsi, la nuit les mots changent de forme, ils grandissent sur les pages de nos pensées, ils vagabondent dans le roulis des rives de l'imaginaire, ils sont magiques et subliment mon coeur de tendresse.
Les mots ont cette force de faire rêver, d'apprendre le sens des pensées, de voyager dans des contrées lointaines que seul le coeur comprend, ils parlent en chantant cette poésie du bonheur.
Voir le monde avec les oiseaux, voguer sur les larmes avec les nuages vers des espaces ouatés, duveteux et sans frontières, enveloppé du silence mystérieux de l'infini, n'écouter que le battement du coeur apaisé par la douceur des rêves et traverser le temps! Le traverser furtivement à la lueur de l'imaginaire, qui est rêve...
juste le temps d'un silence...Le temps d'un rêve, le temps est resté suspendu aux ornières du temps passé.
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© (¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•--> ©Flo
Publié par Flo
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AMOUR