5 juin 2007
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J'ai découvert, un dico de mots inventés, il m'a trop fait rire! J'en ai donc relevé quelques éléments, à vous d'en rajouter, de le compléter...Je tiens surtout à féliciter les auteurs.
J'ai déjà rajouté des mots, pour le plaisir de continuer....
AMOUREUSANT, ANTE adj.
Dont le comportement rend le locuteur amoureux de la personne à laquelle l'adjectif est appliqué.
AUTEUSE n. f.
Féminin indispensable d'auteur.
BADAUDER voir >>PROMENE-COUILLONS
Se promener le dimanche (au fil de l'eau)
BISCOTTE adv.
Parce que (de l'anglais Because)
CHOUIN-CHOUIN n.m.
Animal qui n'a qu'une patte, ce qui le rend extrêmement bancal. Comme il tombe tout le temps, il en met partout quand il mange.
CORER v. tr.
Dé-décorer, oter les décorations.
CUVETTER v. tr.
Emmerder, gonfler, surtout avec un sujet de conversation qui revient souvent. Syn. : bassiner.
DEGARER v. tr. ou pron.
Quitter sa place de stationnement, ou déplacer (son véhicule) de l'endroit oû il était stationné.
DEMITOURNER v.intr.
Faire demi-tour.
DISPENSABLE adj.
Dont on peut se passer, superflu. (cont. =indispensable).
DROLINE n. f.
Hormone de l'humour.
ECLABOUIR v. tr. ou intr.
Eblouir brusquement.
EMBISOUTER v.tr.
Faire des bisous.
MECHANTERIE n.f.
Chose méchante. Contr.: gentillerie.
MENTERIE n.f.
Chose mensongère.
OISONNEUX adj.
Plein d'oiseaux.
ORIGINUL adj.
Original mais nul.
PORTE-QUOI n. m.
Sac ou porte-monnaie dans lequel on met n'importe quoi.
PROMENE-COUILLONS n. m.
Bateau avec des grandes vitres transportant des tas de gens qui badaudent sur l'eau.
RALLONGIS n. m.
Autre chemin qui se veut au départ plus court, mais qui s'avère plus long.
ROULUCHE n. f.
Rouleau à retirer les peluches sur les vêtements.
TRIGOLO adj.
Rire en "ter" donc, très rigolo.
TURBULER v. intr.
Etre turbulent, faire des vagues pour rien.
A vous...
Publié par Avril2
-
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UN PEU DE CULTURE!
4 juin 2007
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08:00
Je t'ai trouvé devant ma porte
Un soir où je rentrais chez moi
La renifleuse des amours mortes
Tu m'avais suivit pas à pas.
La garce, que le diable t'emporte
Tu es revenue, tu es là
Tu me fais le coeur à pleurer
Et de longues nuits désolées.
Comme l'hiver en plein été
Avec tes cheveux mal coiffés
Tu as la mine du désespoir
Tu n'es pas belle à regarder.
Allez, va t'en sors de chez moi
Ton triste visage m'ennuie
Ta mine deconfite m'attriste
Je ne peux plus le voir aujourd'hui.
Je veux encore rouler des hanches,
Je veux me saouler de printemps
Je veux m'en payer des nuits blanches
Dans les bras de mes doux amants.
Me dire que tu es absente
Et rire du temps present
Et si Dieu m'y prête garde
Je veux m'étendre aupres de lui.
Sur la couche qui est sienne
Laisser glisser de douces larmes
pour m'y voir mourir un peu plus
Et jusqu'à mon dernier souffle.
Je veux encore lui dire " je t'aime "
Et vouloir mourir d'amour pour lui
Non, je ne veux pas de toi ...
La solitude , ta solitude m'ennuie...
*´¨ )
¸.•´¸.•´¨)
¸.•*¨)
© (¸.•´ (¸.•´ .•´ : (´¸.•*´¯`*•-->
©Flo
Publié par Avril2
-
dans
AMOUR
3 juin 2007
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06:06
Dis papa?
En admettant qu'un être humain vive en moyenne 70 années et dorme 8 heures par jour, il aura consacré environ 23 années à dormir et parmi celles-ci, 5 à rêver. C'est beaucoup ! Mais faut-il
vraiment déprimer en pensant à tout ce temps perdu ?
Tout d'abord, il semble que nous ne soyons pas tous égaux devant le sommeil; chacun a des besoins différents en matière de temps passé dans les bras de Morphée. Ensuite, la durée et la qualité du
sommeil variant avec l'âge, on remarque que les individus jeunes ont un sommeil long et profond et qu'à l'inverse les sujets âgés ont le sommeil plutôt court, entrecoupé de fréquents réveils. Le
problème c'est qu'au final, quelque soit le temps passé à dormir, nous avons en principe récupéré toutes nos facultés au réveil. Alors bien sûr les adeptes de la grasse matinée vont râler et
répliquer qu'un petit supplément n'a jamais fait de mal à personne, mais nous parlons ici du sommeil utile, non des grasses matinées et autres pauses que nous nous octroyons complaisamment de temps
en temps.
On dit souvent qu'avant l'heure ce n'est pas l'heure et qu'après l'heure ce n'est plus l'heure. Et bien cet adage s'applique parfaitement au sommeil qui est organisé en périodes se répétant tout au
long de l'endormissement. L'important est de monter ou de descendre du train au bon moment, sous peine de devoir courir après le convoi ou d'attendre le prochain. Et pour continuer dans la
métaphore ferroviaire, nous sommes tous d'accord pour dire que descendre du train en marche est une chose périlleuse. Alors pourquoi, s'acharner à ne pas considérer le sommeil comme un moment
important, voir capital, de notre équilibre physiologique. Le sommeil doit être une activité raisonnée, organisée, planifiée. Bref il faut le bichonner…
Pour finir de convaincre les derniers sceptiques, il faut savoir que dormir n'est pas une activité passive, désolé pour ceux qui pensaient ne rien faire en dormant, et on peut même affirmer qu'il
s'agit d'une activité intense et vitale pour l'organisme. Chez les jeunes individus, c'est le moment où le cerveau se structure et établit ses connexions, où les hormones de croissances sont
sécrétées et permettent de grandir. Chez tout le monde c'est l'occasion d'évacuer les fatigues physiques et psychologiques, c'est aussi le fabuleux moment des rêves. Alors bonne nuit !
Publié par Avril2
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UN PEU DE CULTURE!
