7 février 2008
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Les raviolis c'est mercredi et pourtant!!
Pâte pour 4 personnes
400 gr de farine, 4 oeufs
Farce
1 cs huile
1 oignon haché finement
1 gousse d'ail
1 petite carotte coupée en julienne
400 gr de haché de veau
40 gr de pain de mie émietté
parmesan à volonté
sel et poivre
Sauce tomate
boite de purée de tomates
oignon haché
sel et poivre
thym
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1. Faire revenir dans l'huile les légumes et l'ail. Rajouter la viande hachée et laisser cuire lentement en écrasant bien la viande avec une
fourchette.
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2. Rajouter le parmesan et la mie de pain, le sel et le poivre. Mélanger. Donner quelques coups de mixer, mais grossièrement, sinon cela
devient une pâte trop homogène.
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3. Étaler la pâte la découper à l'aide d'un petit verre et fourrer les raviolis. Laisser sécher, d'après la recette c'est quelques heures,
mais je les ai laissé sécher 30 minutes.
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4. Hacher finement l'oignon pour la sauce, rajouter la purée de tomates, poivre, sel, et thym. Laisser cuire une dizaines de minutes.
Rajouter le reste de farce s'il y en a.
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5. Cuire les raviolis 3 minutes dans de l'eau bouillante, jusqu'à ce qu'ils flottent.
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6. Servir avec la sauce tomates parsemer de parmesan ou de dés de mozzarella.
Bon appétit
Publié par Avril2
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CUISINE ITALIENNE
6 février 2008
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01:00
C'était il y a quelque temps, au bal de la Nuits-Saint-Georges que j'ai rencontré la petite Juliénas, une fille drôlement Gigondas, un
sacré beau Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois.
On a dansé Anjou contre Anjou sur un Sylvaner à la mode et, plus tard, lorsque je lui ai proposé de l'emmener dans mon Châteauneuf-du-Pape, elle est devenue toute Croze-Hermitage.
Le temps d'aller chercher un Chablis au vestiaire, de mettre un petit Corton dans ses cheveux, on est montés dans ma banyuls et on a roulé jusqu'au matin.
Ah, quelle belle journée ! On s'est baladé Entre-deux-mers, il faisait beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l'eau Clairette, on s'est Pouilly-Fuissé dans les dunes et puis comme le
Mercurey montait sérieusement et qu'on commençait à avoir les Côtes Rôties, on a décidé de rentrer.
Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvés coincés dans les embouteillages, enfin les bouchons, quoi ! Je commençais à Minervois sérieusement et là, Juliénas et moi, nous avons commencé à
nous crêper le Chinon.
D'un seul coup elle a claqué la Corbière de la Banyuls et elle est partie. Je me suis retrouvé comme Macon.
Quoi, me suis-je dit, elle s'est déjà Sauvignon avant même que j'ai le temps de la Sauternes !
Mais je vous Jurançon, je l'avais dans la Pauillac, en effet, j'étais tellement Tokay que j'ai couru après elle dans Lalande et les Chardonnay pour la rattraper.
Quand on s'est retrouvés, et que je l'ai vue devant moi en Gros-plant, je lui ai dit "Ne fais pas ta Pomerol, et ne t'en va plus Gamay".
En pleurant, elle est tombée dans mes bras en Madiran "Ne m'en veux pas, je voulais juste être sur que ton Saint-Amour était vraiment Sancerre".
Depuis on ne s'est plus cuités...
Merci à Ptitsa le petit colibri pour ce joli texte qu'elle a reçu en
mail, il m'a bien fait rire
Publié par Avril2
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CHOSES DE LA VIE
5 février 2008
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01:00
Définitions données par des enfants.
Quand on y pense bien, en analysant les définitions données sont judicieuces, certaines plus cocasses mais tellement mignonnes.
Le bleu: Ça sert à faire le ciel.
Chercher: C'est quand la chambre n'est pas rangée.
L'écologie: Ça fait pousser les fleurs.
Un os: On en a partout quand on est squelette.
Le rap: On a la casquette avec l'avant derrière.
La tendresse: C'est deux.
Un village: Ça traverse la route..
Une pétale: C'est pour faire tenir les fleurs.
Un truc: C'est quand on ne sait plus dire.
Un quartier de lune: Un reste de lune.
Collation: Quand j'aime pas le dîner de maman.
Abeilles: C'est pour pas qu'on arrache les fleurs.
Punition: C'est quand maman veut me faire gentil.
Économie: Machine à faire des sous.
Cheville: Poignet de pied.
Fourchette: Cuillière avec des pics
Larmes: Jus de peine.
Griffes: Dents de pattes.
Quand je m'ennuie de toi, je pleure comme un enfant.
Cravatte: Bavoir
Cils: Poils de yeux.
Vitraux d'église: Casse-tête de lumière
Lune: Soleil de nuit
Hamburger: Fait avec du steak caché, on le cache dans le pain.
Peux-tu enlever les gouttes de pluies qui sortent de mes yeux?
Viens manger papa, ta crème glacée va refroidir.
Il fait chaud... touche à mon dos, il est tout timide.
Regarde dans l'eau, il y a une grenouille sur un mini-phare.
Cet été à la mer, j'ai couru après une miette, mais elle s'est envolée...
Regarde le joli épouvantable à oiseaux !
Regarde maman, le petit bébé a déjà perdu toutes ses dents.
Pour Noël, je veux un " joliciel " pour jouer à l'ordinateur.
Regarde le beau lever de sommeil !
Dans ma prune, est-ce qu'il y a un moineau?
Maman, quand tu étais petite et que papa était petit, c'étaient qui mes parents ?
Moi, mon chat, on l'a acheté dans un ketchup .
Demain, je vais à l'hôpital pour prendre des photocopies.
Sacrés mômes que voilà, ils en ont de l'imagination ...Hier encore j'étais môme moi aussi!
Publié par Avril2
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PAROLES DU BON SENS