16 octobre 2008
4
16
/10
/octobre
/2008
00:00
En cette période de cueillette, qui n'a pas rêvé de ce goût si raffiné.
Pour ma part, j'adore les truffes, mais bien trop chères pour ma bourse...
Alors, contentons nous de notre récolte
Ingrédients pour 4 personnes :
-
1 citron
-
1 gousse d'ail
-
100 g de parmesan
-
2 petits oignons
-
250 g de champignons
-
50 g de beurre
-
500 g de crème fraîche
-
400 g de tagliatelles fraîches
-
sel, poivre du moulin
Préparation des tagliatelles aux champignons
Pressez le citron, recueillez le jus dans un saladier.
Éplucher et coupez très finement les oignons et la gousse d'ail.
Nettoyez et émincez finement des champignons.
Réservez-les dans le jus de citron.
faites bouillir l'eau salée pour les pâtes.
Faites revenir rapidement, dans le beurre, les oignons, l'ail. Ajoutez la crème fraîche, salez, poivrez.
Gardez sur feu doux 10 min. Pendant ce temps, faites cuire les pâtes le temps nécessaire
Dès que la sauce épaissi, ajoutez les champignons, remuez délicatement, toujours sur feu doux, pendant 1 min.
Égouttez les pâtes.
Disposez-les dans chaque assiette chaude.
Recouvrez de sauce, saupoudrez de parmesan.
Publié par Flo-Avril2
-
dans
CUISINE ITALIENNE
15 octobre 2008
3
15
/10
/octobre
/2008
00:00
Cette petite histoire se produisit un 8 février 1855 dans la campagne anglaise. Ce jour restera gravé dans la mémoire des habitants des nombreux petits villages de la région du Devon. Bien
qu'aucune preuve concrète, ne soit restée visible de cet évènement, il y a eu plusieurs témoins, ce qui peut donner une certaine crédibilité à l'histoire.
Les marques de « sabot du diable » doivent leur nom aux villageois stupéfaits qui les ont vu apparaître du jour au lendemain alentour de leurs villages. Ce matin là, ils découvrirent dans la neige
d'innombrables empreintes mystérieuses. L'énigmatique piste fesait le tour de 18 villages et se retrouvait sur plus de 160 kilomètres.
Les mystérieuses traces de sabots du diable
Ce qui rendait la piste vraiment mystérieuse, c'est que les traces de sabots étaient alignées en ligne droite, comme si la créature qui les avaient laissée derrière elle n'avais qu'une patte, ou
marchait en bondissant un pied devant l'autre. Les traces fesaient 7 cm de largeur et 10 cm de longueur. Les empreintes se répétaient à intervalle régulier et, n'avaient laissées aucun résidus de
neige alentour, comme si la neige avait été enlevée ou avait fondue. À certains endroits les traces étaient si nettes qu'ont auraient pu croire qu'elles avaient été imprimées ou encore coupées
grâce à un couteau.
Accompagnés de leurs chiens et de leurs armes, certains villageois décidèrent donc d'enquêter sur ce phénomène, mais ce qu'ils trouvèrent ne fera que renforcer davantage le mystère. Ils
sillonnèrent la campagne en tous sens, visitant les fermes, reliant les villages de Bicton, Powdersham, Dawlish, Totnes, Torquay et quelques autres.
En effet, les traces ne semblaient que très peu être influencées par les contraintes du terrain. La mystérieuse créature avait marchée sur les murs, sautée par dessus des maisons et traversée de
murs par des fissures ou marcher par dessus des charettes remplies de foin. Le comble fut atteint lorsqu'on en découvrit à l'intérieur d'une buse de drainage de 15 centimètres de diamètre, entrant
et ressortant de l'autre coté comme si l'obstacle n'avait pas existé... Les traces traversaient un estuaire et se recroisaient aussi à certains endroits, rendant presque impossible de savoir ce que
pouvait bien chercher cette curieuse créature.
Les hypothèses furent très nombreuses, certains croyaient à un espèce de reptile, une outarde ou même un kangourou, mais aucune de ces explications ne tient la route. D'autant plus que la distance
parcourue est vraiment trop grande pour qu'un homme puisse la parcourir en une seule nuit et nul n'est capable de sauter par dessus les murs ou de suivre le curieux trajet qu'avait suivie la
bête.
En 1855, les hélicoptères et les moyens que nous aurions aujourd'hui pour faire ce genre (et encore là, il serait impossible de le faire avec autant de discrètion que celle dont à fait preuve
l'insolite animal) seraient bruyant et resterais complexe. À cette époque, le ballon à air chaud motorisé venait de faire son apparition en France (1852), mais il aurait été impossible d'effectuer
un tel parcour avec une telle précision. De plus, les moteurs étaient bruyants.
D'ailleurs, il ne faut pas oublier que pour compliquer toute l'histoire, les témoins ont tous déclarés que les traces ne semblaient pas avoir été faite par compression, mais plutôt comme si la
neige avait été enlevée.
Il ne semble pas exister d'explication plausible à cette histoire, elle fait partie de ces récits donc la cause restera pour toujours ignorée...
Publié par Flo-Avril2
-
dans
CONTES - FABLES ET LEGENDES
14 octobre 2008
2
14
/10
/octobre
/2008
00:00
Tout le monde connait quelqu'un,
mais personne ne connait tout le monde
Si tout le monde connaissait tout le monde,
personne ne connaitrait personne,
ça c'est sûr !
Les religions se trompent : Je n'ai pas fait l'Homme à mon image,
je suis l'image que l'Homme me donne.
Et c'est pour cela que j'ai l'ai inventé, ce Con : pour Exister.
Et c'est pour cela que ce Con ne peut exister qu'en créant à son tour !
Pourquoi ce couillon de Noé n'a-t-il pas écrasé les deux moustiques ?
Parler est un besoin mais écouter est un art
Si l'on sait attendre,
il se produit toujours quelque chose
La lumière voyage plus vite que le son.
C'est pourquoi certaines personnes paraissent brillantes
jusqu'au moment où elles commencent à parler.
Etre,
c'est être perçu !
Les cons dangereux sont ceux qui luttent contre ta connerie
pour t’imposer la leur
Etre premier, c'est une bonne chose
si on est sûr d'être sur la bonne route
Tout est transitoire, éphémere,
tout n'est que mouvement, la vie n'est qu'illusion...
Renverse pas la bière tout de même !
Publié par Flo-Avril2
-
dans
PAROLES DU BON SENS